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Histoire d'une femme perverse narcissique manipulatrice
10 juillet 2012

Violence verbale et physique

Charlotte avait du mal à me supporter au quotidien. Elle faisait exprès de me parler tout bas au loin pour que je ne l’entende pas, et me demandait ensuite si je me moquais d’elle (cette méthode est commune chez les pervers narcissique). Pas le moins du monde ! Elle me faisait continuellement des remarques sur mon organisation, sur mon physique. Des remarques souvent dégradantes et humiliantes. Alors qu’à d’autres moments, j’étais un bel homme et je lui plaisais vraiment.

Par plusieurs fois, la situation s’est très vite dégradée. Je vous parle d’un soir où je prenais trop de temps à me laver les dents (pour elle, se laver les dents le soir était inutile – mais pas pour moi !). Elle vient donc dans la salle de bain pour me critiquer, me reprocher le temps que je perds, le nombre d’aller-et-retours inutiles entre la salle de bain et le salon. Et ça a dégénéré, elle m’a insulté, a hurlé, s’est transformée. Devant cette situation impossible, j’ai décidé de sortir et d’aller faire un tour. Je ne pouvais pas imaginer me faire à ce point insulter pour quelque chose d’insignifiant ! Et puis le soir, si on se couche à 22h10 ou 22h20, quelle importance ? Je décide donc d’enfiler mes habits et de partir. Pas loin, pas longtemps, mais juste pour lui indiquer que je n’accepte pas ce genre de crise sans raison : il n’y avait de toute manière pas moyen de discuter dans ces moments là. J’enfile donc mes habits, je prends mes clefs de voiture mais voilà qu’elle enlève les clefs de la porte et qu’elle m’empêche de les récupérer. Je lui demande de me les rendre, mais rien n’y fait. Elle s’emporte de plus belle en m’insultant, me bloquant contre la porte d’entrée. Elle en vient même à me donner des coups de pieds dans le tibia, dans un déchainement de violence inouïe. Bloqué, prostré, faisant en sorte de laisser passer l’orage, je me demandais qui était cette personne avec qui je vivais pourtant. A la fin de la crise, elle a fondu en larme en me demandant pardon. Elle me disait qu’elle était désolée, qu’elle était nulle, et qu’elle était persuadée que j’allais la quitter. Il n’en était rien, et je savais bien au fond de moi qu’elle avait du mal à surmonter ce que je croyais être des crises de confiance.

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Commentaires
S
hello martin: pour ma part, je n'ai jamais culpabilisée: coupable de quoi!!?? de la "folie" de ces "gens": je voyais bien que cela ne " fonctionnait pas bien" car j'avais travaillée en centre psychothérapique: elle avait des comportements TRES anormaux HIC!!!! comme tous/toutes les P/N/M: surtout ne JAMAIS le plaiandre, car je pense qu'ils/elles étainet conscnients qu'ils/elles " adorent" faire du mal!!! j'ai souvenir que quand mon ex mari " ralait" après moi, je la regardait: elle avait un "sourire sadique" ppffff
M
Oui toujours faire culpabiliser leur victime, c'est quelque chose de récurrent chez eux... Et la victime en vient à croire qu'elle est vraiment coupable !
S
hello martin: eh ben: voilà hélas ce qu'une P/N/M peut faire: etre "affeuse" et après PLEURER/SE FAIRE PLAINDRE!!! pour ma part, je n'ai subit que du verbal, jamais touchée!!! comme depuis 2000 le 18 01: jour ou j'ai "craquée" physiquement= hopital( je commençais ma descente au enfer) et en invalidité 1: elle aurait eue " dans l'os" si il y avait eue violences physiques (ni de la part de mon ex mari)
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