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Histoire d'une femme perverse narcissique manipulatrice
5 août 2012

La dégradation inéluctable

Le jeudi de l’ascension, 2 jours avant notre départ, je travaillais dans la salle de bain pour avancer dans les travaux. Je voulais en profiter avant notre départ à Nice, c’était promis je m’occuperai d’elle à 100% pendant les vacances. Ce jour là, Charlotte s’est mise à pleurer sans que je m’en rende compte. Elle est montée, a téléphoné à quelqu’un, sur le moment, je n’ai pas su qui, et elle n’a jamais voulu me le dire. Elle est venue me voir, et m’a dit en pleurs : je vais faire un tour. C’est la première fois qu’elle m’abandonnait. J’étais dans un état de stress énorme, je ne savais pas qui elle pouvait aller voir. Elle avait besoin que je m’occupe d’elle, mais je ne savais pas qu’elle en était à ce point. Elle allait partir je ne sais où et moi, je ne pouvais pas l’en empêcher. C’était contraire à ce que j’avais voulu faire lors de ses crises. Elle est donc partie plusieurs heures sans que je sache où.

J’ai franchi une limite que je n’aurai pas dû franchir ce jour là. En panique, j’ai appelé sa mère pour savoir si elle était chez elle, j’avais peur. Peur de ce qu’elle pouvait faire. C’était la première fois que j’appelais sa mère, je n’en avais pas le droit. Je n’avais son numéro que depuis peu de temps. Et par cet appel j’allais court-circuiter son contrôle total. Elle ne me le pardonnerait jamais. C’est en ce jour précis qu’elle a élaboré son plan. Le plan machiavélique de ma destruction.

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Commentaires
H
"C’est la première fois qu’elle m’abandonnait" : indice<br /> <br /> <br /> <br /> "J’ai franchi une limite que je n’aurai pas dû franchir ce jour là"<br /> <br /> Vous vous êtes inquiété, c'est normal.<br /> <br /> Aucune culpabilité à avoir
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