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Histoire d'une femme perverse narcissique manipulatrice
25 juillet 2012

Charlotte et la pudeur

Charlotte était une très jolie femme. Elle avait un visage agréable, de beaux yeux verts, un corps joliment dessiné. J’étais totalement sous son charme, follement amoureux. C’est peut-être aussi mes sentiments qui me renvoient cette image de perfection.

Mais ce qui la rendait encore plus désirable, c’était sa féminité poussée à l’extrême. Brushing parfait chaque jour, maquillage léger et harmonieux, gloss et vernis de concert. Et surtout, des tenues toujours légères et presque sexy sans jamais être vulgaires, mais un peu trop peut-être pour aller au travail tous les jours. Comment voulez-vous ne pas craquer dans ce cas ??? Elle était très souvent en robe ou en jupe, ce qui lui allait à ravir, et dans un pantalon, elle était tout aussi sublime. L’hiver, elle avait souvent froid, car pour rien au monde elle n’aurait enfilé une tenue qui aurait privilégié le confort et la chaleur à la féminité. Bien sûr, tout cela est très superficiel, ce ne sont que des apparences, mais un homme reste un homme, il n’est jamais indifférent au charme d’une femme apprêtée. En tout cas, pour la plupart d’entre eux.

Malgré cette féminité au quotidien, Charlotte était très pudique. Elle n’aimait pas son corps, et en conséquence, ne me le montrait jamais. Je ne dis pas que je ne l’ai jamais vu, mais c’était très rare. Jamais au grand jamais je n’aurais pu entrer dans la salle de bain lorsqu’elle était sous la douche. Je ne pouvais pas franchir le seuil de la chambre lorsqu’elle s’habillait ou se déshabillait. Il fallait être sous la couette et dans le noir pour qu’elle se dévoile. Je dois vous dire que ce comportement était assez frustrant. Il n’a pas évolué en 3 ans, il a presque empiré, car au début elle essayait de faire des efforts (nous avions pris un bain ensemble, une fois seulement). Je sais bien que la pudeur ne se commande pas, mais avec le temps je m’imaginais qu’elle se serait un peu abandonnée à moi.

Cette pudeur ne nous empêchait pas d’être heureux dans notre intimité. C’est ce qui comptait au final. Quant à moi, je ne pouvais pas dormir habillé, elle ne pouvait pas l’imaginer. Cette situation n’est pas normale, elle ne peut pas exiger quelque chose de moi qu’elle-même ne ferait pas. Je ne lui ai pourtant jamais refusé.

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Commentaires
H
L'amour : Est-ce juste une attirance physique ?<br /> <br /> Cette pudeur est la preuve qu'elle ne s'aimait pas et n'aimait personne, même pas vous, il faut apprendre à s'aimer avant d'aimer les autres, un grand manque d'amour dans l'enfance.<br /> <br /> Comment était sa mère ? L'importance du regard des autres etc ...
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