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Histoire d'une femme perverse narcissique manipulatrice
7 août 2012

Mon calvaire – première partie

Nous sommes partis à Nice, mais Charlotte avait déjà décidé de me quitter. C’est très grave, mais c’était son plan sadique. Dans le train, elle ne m’aimait plus elle était très distante. Moi, je n’avais plus confiance en elle mais j’avais encore de l’espoir. Sinon nous ne serions pas partis ? Lorsque nous sommes arrivés en début d’après-midi, elle a fait semblant. Elle m’a fait visiter quelques lieux qu’elle avait fréquenté, mais aussi et très bizarrement l’endroit ou elle avait rompu le pacs avec son ex, dans son restaurant, en y faisant un scandale. Voilà pourquoi elle tenait tant à me faire venir à Nice. C’était pour rejouer le scénario macabre de son passé. Le soir même, elle ne m’aimait plus du tout, c’était sûr. Elle a essayé de me mettre en colère dans la voiture : nous devions faire quelques courses, et elle m’a indiqué un centre commercial que nous n’avons jamais trouvé. Elle l’avait fait exprès, je n’en ai aucun doute. Et elle a réussi à m’énerver. Le soir même, dans notre location, nous avons mangé sans appétit et sans vie. Elle ne m’aimait plus, c’était certain, parce que je lui avais reproché de m’avoir donné de fausses indications dans la voiture, mais tout était calculé.

Nous avons pris la décision de repartir avec la voiture de location dans le nord dès le lendemain. Il n’y avait plus de train disponible. Elle est sortie téléphoner de longues heures pour l’annoncer à je ne sais qui. La nuit a été horrible, j’ai pleuré sans discontinuer. Elle a pourtant insisté pour que nous dormions ensemble, pour qu’elle puisse encore me contrôler.

Le lendemain matin, je voulais appeler mon frère, seul. Elle n’a pas voulu, elle voulait contrôler la communication et j’ai accepté. Nous avons passé l’appel depuis la voiture, elle a invoqué de fausses raisons pour me quitter : la maison, ma mère, l’album photo du début. Des mensonges comme les pervers narcissiques manipulateurs en distribuent quotidiennement.

La route était longue, horrible, les éléments étaient déchainés, le vent, la pluie. Chaque kilomètre était pénible. Les bouchons interminables. Au volant, je pleurais toutes les larmes de mon corps. Pendant ce temps, Charlotte me caressait la main, me caressait le cou. Pas pour me consoler, mais pour me faire souffrir encore plus. Elle ne semblait ressentir aucune émotion. Une vraie torture pour moi…

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Commentaires
H
Elle provoquait l'abandon programmé depuis le début de cette relation.<br /> <br /> Elle voulait reproduire encore et encore ce sentiment et fuir.
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